Le prix et l’abordabilité ont été les principaux facteurs qui ont influé
sur l’achat de l’habitation actuelle des répondants. Parmi
eux :
- 28 % ont mentionné le prix ou l’abordabilité;
- 13 % ont évoqué le type d’habitation;
- 10 % ont parlé du type de quartier;
-
10 % ont mentionné l’espace habitable global de
l’habitation;
- 7 % ont parlé de l’état de l’habitation;
- 5 % ont mentionné que l’habitation était neuve;
- 4 % ont parlé du nombre de pièces;
- 4 % ont dit vouloir se rapprocher de leur lieu de travail;
-
4 % ont dit vouloir se rapprocher de leurs amis ou de leur famille;
- 3 % souhaitent avoir un espace extérieur;
- 3 % ont parlé de proximité de la nature.
La majorité des acheteurs sondés ont indiqué que leur habitation actuelle
répond bien ou plutôt bien à leurs besoins globaux. Parmi eux :
-
90 % estimaient que, dans l’ensemble, leur habitation répondait à
leurs besoins;
-
88 % estimaient que leur type d’habitation répondait à leurs
besoins;
-
86 % disaient que l’emplacement de leur habitation répondait à
leurs besoins;
-
87 % disaient que leur habitation répondait à leurs besoins en matière
de sécurité;
-
88 % disaient que la taille de leur habitation répondait à leurs
besoins;
-
85 % estimaient que le prix de leur habitation répondait à leurs
besoins budgétaires;
-
85 % disaient que l’état de leur habitation répondait à leurs
besoins;
-
80 % estimaient que le potentiel de leur habitation répondait à leurs
besoins;
-
82 % indiquaient que leur habitation répondait à leurs besoins en
matière de mode de vie;
-
80 % disaient que l’âge de leur habitation répondait à leurs
besoins.
Les acheteurs ont surtout interagi avec des courtiers immobiliers et des
avocats ou notaire pendant le processus d’achat d’une habitation.
De grands pourcentages d’entre eux ont également fait affaire avec des
prêteurs. Parmi les répondants :
- 79 % ont interagi avec un courtier immobilier;
- 78 %, avec un avocat ou un notaire;
- 66 %, avec un prêteur;
- 64 %, avec un membre de leur famille;
- 62 %, avec un inspecteur en bâtiment;
- 49 %, avec un courtier en prêts hypothécaires;
- 43 %, avec un ami;
- 34 %, avec un évaluateur en prêts hypothécaires;
- 28 %, avec un planificateur financier;
- 21 %, avec un constructeur;
- 21 %, avec un collègue de travail;
- 5 % ont répondu « Autre ».
Selon les résultats, les courtiers immobiliers sont les personnes les plus
utiles à consulter dans la décision d’achat d’une habitation.
Voici d’autres réponses. Parmi les répondants :
- 37 % ont mentionné les courtiers immobiliers;
- 17 % ont parlé des membres de leur famille;
- 11 % ont mentionné les courtiers en prêts hypothécaires;
- 8 % ont évoqué les inspecteurs en bâtiment;
- 8 % ont parlé de prêteurs;
- 3 % ont mentionné les planificateurs financiers;
- 5 % ont parlé des constructeurs;
- 3 % ont mentionné les avocats ou les notaires;
- 4 % ont évoqué leurs amis;
- 2 % ont parlé d’évaluateurs en prêts hypothécaires;
- 1 % ont mentionné leurs collègues de travail.
Nous avons sondé les répondants au sujet des personnes avec lesquelles ceux-ci
ont interagi durant la décision d’achat d’une habitation. Les
répondants ont indiqué qu’ils accordaient de la valeur à ces personnes
en raison de leurs connaissances. Ils ont également mentionné la qualité de
leurs conseils. Parmi les répondants :
- 47 % ont indiqué que la personne était la mieux informée;
-
45 % ont mentionné que la personne leur a fourni les meilleurs
conseils;
- 43 % ont dit que la personne était la plus digne de confiance;
-
40 % ont indiqué que la personne était la plus attentive à leurs
besoins particuliers;
-
38 % ont affirmé que la personne leur a fourni le meilleur service;
- 29 % ont évoqué l’établissement de la meilleure relation;
-
27 % ont dit que la personne leur a fourni les meilleurs outils et
ressources;
-
21 % ont indiqué que la personne leur a fourni les meilleures
recommandations.
Les acheteurs ont reçu des recommandations en matière de services
professionnels. Parmi les répondants :
- 38 % ont obtenu des recommandations de courtiers immobiliers;
- 35 % ont reçu des recommandations de prêteurs hypothécaires;
-
33 % ont obtenu des recommandations de courtiers en prêts
hypothécaires.
Les membres de la famille et les courtiers immobiliers constituent la
principale source de recommandations dans le choix d’un prêteur. Les
répondants ont également indiqué d’autres sources. Parmi eux :
-
20 % ont reçu des recommandations d’un membre de leur famille;
- 20 % ont obtenu des recommandations de leur courtier immobilier;
-
12 % ont reçu des recommandations de leur planificateur financier;
- 10 % ont eu des recommandations d’un ami;
-
15 % ont obtenu des recommandations de leur courtier en prêts
hypothécaires;
- 8 % ont trouvé un prêteur par eux-mêmes;
- 4 % ont reçu des recommandations de leur constructeur;
- 3 % ont eu des recommandations d’un collègue de travail;
- 2 % ont obtenu des recommandations de leur avocat.
Plus de 1 acheteur sur 3 a reçu une recommandation pour un courtier
en prêts hypothécaires de la personne suivante :
- Courtier immobilier (35 %);
- Membre de la famille (19 %);
- Planificateur financier (10 %);
- Ami (13 %);
- Lui-même (8 %);
- Collègue de travail (3 %);
- Constructeur d’habitations (6 %);
- Avocat (2 %);
- Prêteur (2 %).
Dans le cadre de l’enquête, nous avons demandé aux acheteurs combien ils
avaient dépensé pour l’achat d’une habitation. Parmi eux :
- 16 % ont payé moins de 199 999 $;
- 19 %, entre 200 000 $ et 299 999 $;
- 28 %, entre 300 000 $ et 499 999 $;
- 20 %, entre 500 000 $ et 749 999 $;
- 9 %, entre 750 000 $ et 999 999 $;
-
6 %, entre 1 000 000 $ et 1 499 999 $;
-
1 %, entre 1 499 999 $ et 1 999 999 $;
- 1 % ont payé 2 000 000 $ ou plus.
L’enquête a également permis d’en apprendre sur la mise de fonds
des répondants. Parmi eux, 37 % ont payé plus de 20 % du prix
d’achat de leur habitation en mise de fonds.
Pour 47 % des acheteurs, le manque de fonds était principalement
responsable d’une mise de fonds inférieure à 20 %. Voici
d’autres raisons. Parmi les participants :
-
33 % ont affirmé vouloir garder une partie des fonds pour
d’autres dépenses;
-
15 % se sentaient à l’aise par rapport à ce niveau
d’endettement.
Les données ont montré que 28 % des personnes ayant versé une mise de
fonds supérieure ou égale à 20 % voulaient éviter de payer une
assurance prêt hypothécaire. Les répondants ont mentionné d’autres raisons :
-
26 % voulaient rembourser leur prêt hypothécaire le plus vite possible;
-
24 % voulaient réduire le montant des intérêts payés pendant la durée
du prêt hypothécaire;
-
17 % croyaient qu’il s’agissait d’un bon
investissement;
Plusieurs sources ont été citées pour la mise de fonds. Parmi les répondants,
38 % avaient des économies en dehors d’un REER pour la financer.
Pour 25 % des répondants, la mise de fonds provenait de l’avoir
propre d’une habitation précédente. D’autres sources ont également
été mentionnées. Parmi les participants :
- 11 % ont mentionné leur REER;
-
8 % ont dit qu’il s’agissait d’un cadeau d’un
membre de leur famille;
- 5 % ont contracté un prêt;
- 4 % ont utilisé une marge de crédit hypothécaire;
-
2 % ont eu recours à un programme provincial ou municipal d’aide
à la mise de fonds;
-
1 % ont dit qu’il s’agissait d’un cadeau d’un
ami.
Nous avons demandé aux répondants, avec le recul, quels mots décriraient le
mieux leur processus d’achat d’une propriété. Les acheteurs ont
utilisé les mots suivants :
- 44 % ont répondu le mot heureux;
- 37 %, enthousiastes;
- 35 %, stressés;
- 33 %, confiants;
- 32 %, optimistes;
- 28 %, anxieux;
- 12 %, frustrés;
- 9 %, neutres;
- 8 %, craintifs.