IMPORTANT : Veuillez lire l’avertissement pour cette page.
Prolongation de 2 ans à la Loi sur l’interdiction d’achat d’immeubles résidentiels par des non-Canadiens
Le 4 février 2024, le gouvernement du Canada a annoncé son intention de prolonger de 2 ans l'interdiction de la propriété étrangère sur le marché canadien de l'habitation, c'est-à-dire jusqu'au 1er janvier 2027. Pour obtenir plus d'information, veuillez consulter le communiqué diffusé par le ministère des Finances du Canada. La loi ayant été prolongée de 2 ans, le gouvernement continue d'accueillir les commentaires des parties prenantes afin d'aborder les problèmes que cette prolongation pourrait causer. Veuillez envoyer vos commentaires par courriel à centrecontact@schl.ca.
Vérifiez si l’immeuble résidentiel est dans une région métropolitaine de recensement ou une agglomération de recensement.
- Une région métropolitaine de recensement (RMR) doit avoir une population totale d'au moins 100 000 habitants, dont au moins 50 000 vivent dans le noyau.
- Une agglomération de recensement (AR) doit avoir une population d’au moins 10 000 habitants.
Entrez l'addresse de l’immeuble résidentiel dans le coin supérieur gauche de la page de la carte et nous vous dirons si elle se trouve dans une RMR ou une AR.
Entrer l'addresse de l’immeuble
Faits saillants
- La Loi sur l’interdiction d’achat d’immeubles résidentiels par des non-Canadiens (la « Loi ») définit les immeubles résidentiels comme des bâtiments qui comprennent au plus 3 locaux d’habitation. Les maisons jumelées et les logements en copropriété en font partie. La Loi n’interdit pas l’achat d’immeubles de plus grande taille, c’est-à-dire qui comptent 4 locaux d’habitation ou plus.
- Les non-Canadiens peuvent acheter des immeubles résidentiels situés à l’extérieur des régions métropolitaines de recensement (RMR) et des agglomérations de recensement (AR).
- Certaines exceptions permettent à des non-Canadiens d’acheter un immeuble résidentiel dans des circonstances définies.
- Si un non-Canadien, ou toute personne qui aide sciemment un non-Canadien, est reconnu coupable d’avoir enfreint l’interdiction, il devra payer une amende pouvant atteindre 10 000 $. De plus, un tribunal peut ordonner la vente de l’immeuble résidentiel.